fbpx

Les Voyages de Shamash

 

La séparation gémellaire,

Le syndrome du jumeau perdu

La perte gémellaire intra-utérine constitue un traumatisme aux conséquences multiples pour le survivant.

Cette souffrance qui prend racine dès les premières semaines après la conception, durant la vie utérine, constitue une blessure de l’âme fondamentale pour la suite de la vie de l’individu.

          Au commencement…

Au commencement, l’âme, décide de descendre sur terre pour vivre l’exercice de l’incarnation.

18 à 24 mois avant sa naissance, à l’aide de ses guides et professeurs, elle établie son plan d’incarnation. A ce moment là, elle choisi ses options de vie, ses bonheurs et ses malheurs, la durée de sa vie, l’exercice le plus important qu’il lui faudra réaliser, les liens a tisser avec les autres âmes, etc. Bref elle planifie les milliers de possibilités qui lui seront offertes pour avancer au cours de son évolution, pour tenir compte et de son chemin de vie et de son libre arbitre terrestre.

Chose importante à ce stade, elle choisi aussi ses parents. Quitte à les faire se rencontrer par « hasard », sur le quai d’une gare.

Cette âme, qui n’a pas de ressenti physique ou subtil, « sait » seulement comment tout ça va se passer.

Elle sait aussi que la descente secoue et qu’il va sans doute falloir traverser une couche d’énergie type brouillard gluant, avant d’atteindre la terre et que ça va être très inconfortable. Tout ça pour « rentrer » dans une enveloppe corporelle de quelques millièmes de millimètres.

Alors, pour ne pas qu’elle se sente seule et recule au dernier moment (fausse-couche), une âme sœur/frère, va se proposer de l’accompagner pour faire un bout de chemin avec elle. Une partie de cet accord tacite, est aussi conclue pour enclencher le processus dédié au code relationnel du survivant, qui s’engage de facto à vivre une blessure de l’âme qui devra le mener sur le bon chemin de vie.

Et voilà nos deux âmes, incarnées dans deux embryons (monozygote ou non), au chaud dans le ventre d’une jolie maman (qui avait, elle aussi, choisi ce chemin de vie avant son incarnation).

A ce stade, la communication entre les deux embryons est d’ordre viscérale, physique et non physique, paradisiaque. L’Amour, le lien, est Absolu, parfait, puissant. Indescriptible.

          L’heure de la séparation.

Dans les toutes premières semaines de sa vie embryonnaire, comme le stipule le contrat, notre jumeau quitte le plan physique pour retourner à la Source. Cette séparation est vécue comme une déflagration émotionnelle pour le survivant. Cette perte, c’est la fin du monde, le vide. C’est bien pire qu’une émotion, c’est le néant. Douloureux, inconcevable.

Puisque le vide ou « rien » est inenvisageable, notre embryon va essayer de recréer quelque chose.

Il va tenter d’absorber le vide, tenter de recréer l’Autre, de le dupliquer tel qu’il existait. Mais à l’intérieur de lui, pour combler la béance.

L’enfant vit la blessure d’abandon dès son premier souffle

A la naissance, l’enfant commence à expérimenter ses champs relationnels. Il a « vécu » l’abandon, alors il va maturer cette sensation, en émotion. Il vit la blessure d’abandon, de rejet et/ou de culpabilité dès son premier souffle. Cette information est relayée à tout son organisme et notamment à son cerveau (stockage analytique). Ce dernier, qui ne vit pas les émotions mais les interprète, analyse, stock et crée des liens. Il analyse et ressasse sans cesse le passé. Il crée une forme d’auto-sabotage qui conditionnera le relationnel et les manières de fonctionner vis à vis de soi et des autres toute la vie.

A ce processus, s’ajoute le résidu mortifère du jumeau perdu qui, toujours pour combler tout le vide, va grandir avec l’enfant. Cette énergie stagnante crée un champs parasite qui va couper la communication entre les jumeaux. Car même s’il a dû honorer son contrat, le jumeau parti ne souhaite finalement qu’une chose : entretenir le lien d’Amour qui l’uni à son survivant. Alors à nouveau dans sa version Lumineuse parfaite continue la connexion, il communique… il communique… mais l’enfant ne l’entend pas. Le champs parasite (forme/structure/membrane) crée une sorte de prisme déformant la communication. L’enfant, puis l’adulte, ne perçoit pas (ou très peu) les signes d’amour de l’Autre. Ce qui entretien le sentiment de solitude.

 

Avoir perdu un jumeau peut provoquer les manifestations comportementales suivantes :

  • Sentiment de vide en soi, qu’il nous manque une partie de nous ou quelqu’un, solitude,

  • Dépendance affective, jalousie obsessionnelle, vie amoureuse catastrophique,

  • Se mettre en position de soumission à l’autre,

  • Culpabilité d’exister sans savoir pourquoi,

  • Se sentir rejeté(e), indignité à être aimé(e),

  • Faire passer les autres avant soi, vouloir sauver les autres, donner beaucoup et être en épuisement psychique,

  • Ne pas s’autoriser à, être « trop ceci », « pas assez cela »,

  • Sentiment d’illégitimité d’exister, pas à sa place dans la société, dans la famille,

  • Relations sociales inexistantes ou chaotiques,

  • Addiction, achats compulsifs, manger pour deux,

  • etc.

Si vous reconnaissez en vous l’un ou plusieurs de ces sentiments et que la reconnexion gémellaire vous intéresse, alors cliquez ici.

 

Les services

Soin énergétique

Soin à distance 

Séance d’hypnose spirituelle